mercredi 3 août 2011

#FrenchRevolution #Fruncut Appel pour la Marche Révolutionnaire du 4 Août 2011 : par le Comité de Gironde pour la Resistance

 1789, les États généraux, devenus Assemblée Constituante depuis le 7 juillet, décidaient et votaient l’abolition des privilèges.

Aujourd’ hui l’impérialisme frappe chaque jour les peuples et les institutions de tous pays. Il attaque, avec ses mercenaires de la finance, les travailleurs et les peuples, les soumettant à la guerre et à l’exploitation.
Pour résister, les travailleurs et les peuples se sont unis et ont répondu avec leurs armes citoyennes. Ils se sont révoltés en Tunisie, en Algérie, montrant la voie à suivre en exemple. Ils ont résisté aux réformes destructives des acquis et des droits, en manifestant par millions dans la rue, que ce soit en Espagne, au Portugal, en Grèce, en Irlande, en Angleterre, mais aussi en France.
Aujourd’hui de nouveaux mouvements prennent d’assauts les places des villes pour créer une nouvelle démocratie. Tous ces faits de résistance ont un point commun, le refus des indignés à se laisser faire. Tous disent NON à la dictature du FMI et à ses représentants que sont l’Union Européenne et la BCE. NON à l’exploitation ! NON à la guerre !
"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs".
Nous appelons tous les militants syndicaux, politiques ou non, chômeurs, travailleurs et salariés, handicapés, indignés, « aux travailleurs pauvres », à tous et toutes, venez vous joindre à nous.

Rendez-vous, à 20H00, le 4 Août 2011
Parvis des droits de l’Homme de Bordeaux.

Nous nous rendrons ensuite, par une marche festive et populaire jusqu’à la place Jean Moulin.
Qu’on se le dise ! Faites circuler l’information !
Venez avec vos enfants, des bougies, des baguettes étincelantes, des pétards de 14 juillet, des instruments de musique, des casseroles, des confettis etc…
 http://www.facebook.com/event.php?eid=251874254831245

lundi 25 juillet 2011

#frenchRevolution #Fruncut L'Etat de droit bafoué à Montreuil

Aujourd'hui, dimanche 24 juillet, s'est déroulé à Montreuil une scène hallucinante. Il était 13h-13h30, au 74, rue des Caillots.
 
Cette adresse est un des lieux squattés par de jeunes militants politiques, précaires et chômeurs. Il s'agit d'une parcelle toute en longueur, avec deux petites maisons. Le propriétaire était une personne agée, hospitalisée. Ce squat existe depuis un certain temps, l'un des jeunes occupants disposant de preuves de cette occupation. Ce bien a été revendu, suite apparemment à la mise sous tutelle du propriétaire. Et c'est là que les choses se compliquent.
 
Soyons précis. En cas de squat, la loi est claire. Soit les occupants sont chassés du lieu avant qu'ils n'aient occupés avec preuve le bien au moins 48 heures, soit il faut s'adresser à un juge, et agir dans le cadre de la loi, qui en France protège la propriété privée. C'est long, pas simple, mais ce sont les démarches légales dans un Etat de droit.
 
Eh bien, dans ce cas d'espèces, le propriétaire se moque des lois. Pire encore, il reçoit le soutien implicite de la police pour perpétrer ce qui constitue une agression caractérisée et commettre des voies de fait sur des personnes.
 
Ce monsieur, après deux visites très musclées hier samedi, et ce dimanche matin, est réapparu sur place, escorté d'une bonne douzaine de personnes, toutes armées de barres de fer, manches de pioche, masses, pied de biche. Et là, la violence a été immédiate, totale et injustifiable. Plusieurs occupants ont été gazés, blessés à la tête, dans les côtes. Les lieux ont été saccagés, le compteur d'électricité arraché. Des menaces de mort ont été proférées... Les voisins étaient choqués, par ce qu'ils voyaient.
 
La police, arrivée dans les 20 minutes après le début de l'attaque, s'est bornée à protéger ce groupe ultra-violent d'assaillants, omettant même de les désarmer et d'aller voir ce qu'ils réajustaient parfois sous leurs maillots à leur ceinture. Ils ont ainsi pu finir d'arracher le grillage, le compteur électrique, proférer menaces et insultes... Les policiers ont ramené ces gens à leurs véhicules, ont protégé leur départ, et sont repartis à d'autres occupations... Hallucinant, je n'avais jamais assisté à une telle violence, ni à un tel déni de la notion d'ordre public.
 
Mais qui sont ces assaillants ? L'un d'eux a exhibé un titre de propriété, qui indique quand même que le bien est libre de droit, c'est-à-dire sans occupants... Cette personne s'appelle Hafid Hafed, habite Montreuil (le quartier de la Boissière), et agirait au titre d'une société à actions simplifiées (forme peu habituelle...) dénommée IAD France. Il en serait le directeur de la branche de Seine-Saint-Denis. Un autre personnage de cette entreprise, non présent cet après-midi (ou alors sous une capuche et derrière des lunettes noires) mais s'étant présenté lors d'une des deux visites pas plus courtoises précédentes, se nomme Mehdi Ibanez. Il serait agent commercial. Qui sont ces gens, qui agissent avec une telle violence, en toute impunité, devant les forces de l'ordre ? Pour qui travaille et roule cette société au statut si étonnant pour travailler dans l'immobilier ? D'où viennent leurs fonds ?
 
Autre élément étonnant. Durant les 20 minutes d'ultra-violence, ils ont claironné qu'ils connaissaient Brard, l'ancien maire. Info ou intox ? Tentative de manipulation, de brouillage ? En tout cas, aucun membre de la municipalité n'était présent, le maire-adjoint de permanence n'était pas présent, la direction de la tranquillité publique pas présente, d'habitude là avant... Encore plus sidérant, aucune autorité visible dans les effectifs de police, pas un capitaine, pas le commissaire de permanence...
 
Les papiers des agresseurs n'ont pas été contrôlés, ils n'ont pas été fouillés, les numéros des 4 véhicules n'ont pas été relevés. Je tiens à apporter ma contribution au maintien de l'ordre : j'ai relevé les 4 numéros, j'ai bien identifié tous les visages...
 
J'ai essayé d'appeler des élus, la mairie... Rien, pas une réponse.
 
Pour finir, les agresseurs sont partis rapidement, escortés par la police. Ils avaient, disaient-ils, deux autres lieux à traiter... Je ne sais pas si c'est à Montreuil.
 
Dorénavant, le mot "milice" s'écrit au pluriel à Montreuil. Mais l'affaire ne va pas en rester là. Parce que l'Etat de droit, c'est la seule chose qui nous sépare de la barbarie. Et aujourd'hui, les barbares ont fait la démonstration à Montreuil que tout peut basculer très vite.
 
La suite ?... Vous la lirez ici, le plus vite possible. Tous ceux d'entre vous disposant de photos, de vidéos peuvent me contacter, j'ai alerté sur place l'AFP et Le Parisien.

Source : http://chroniquesmontreuilloises.over-blog.com/article-l-etat-de-droit-bafoue-a-montreuil-80116713.html

#FrenchRevolution #Fruncut Réintroduction de la peine de mort en Europe, devinez qui y aura droit

Les surprises du Traité de Lisbonne

peine-de-mort-233x300.jpgL’Union européenne a décidé de réintroduire la peine de mort pour les insurgés. Vous ne le croyez pas ? Les médias ne vous l’ont pas appris ? Alors asseyez-vous et attachez vos ceintures.
 
Tous les Etats membres de l’Union européenne ont aboli la peine de mort. Lors d’émeutes, c’est la prison qui est la pire sanction qui attend les insurgés. Or le Traité de Lisbonne admet de nouveau la peine de mort pour les insurgés au sein de l’Union européenne. A la suite de la crise économique, elle s’attend à de graves troubles dans beaucoup d’Etats membres. C’est pourquoi elle tient à ce que le Traité de Lisbonne entre en vigueur le plus rapidement possible.
 
En juin 2008, les Irlandais l’ont refusé et bloqué ainsi son entrée en vigueur. Il vise à étendre considérablement le pouvoir des 27 commissaires de l’Union européenne, à mettre en place un président puissant, à réduire à l’état de vestiges les lois nationales des Etats membres et à rendre possible la peine de mort dans certains cas. L’entrée en vigueur du Traité permet explicitement de «réprimer [si nécessaire], conformément à la loi, une émeute ou une insurrection». La peine de mort pourra être prononcée dans l’UE pour sanctionner «des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre». Cela a été précisé en petits caractères dans le Bulletin officiel de l’Union européenne du 14 décembre 2007 et dans les commentaires à propos de la Charte des droits fondamentaux qui aurait force de loi si le Traité entrait en vigueur. Il semble que personne n’ait lu ce passage car l’article 2 («droit à la vie») de la nouvelle Charte des droits fondamentaux dispose que «nul ne peut être condamné à la peine de mort ni exécuté.» Cela paraît incontestable, mais dans un passage en petits caractères on trouve les exceptions:
«La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire:
a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue;
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»

 
C’est ainsi que l’abolition de la peine de mort est relativisée et invalidée. Selon l’alinéa c), il sera donc possible dans l’UE, malgré l’interdiction officielle de la peine de mort, d’y recourir pour «réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection». Le saviez-vous? Le Bundestag allemand a voté en avril 2008, à une majorité de deux tiers, avec les voix de la CDU, du SPD, du FDP et des Verts, pour l’abandon de la souveraineté en faveur de l’UE, le Traité de Lisbonne et la réintroduction de la peine de mort pour des insurgés qui y est inscrite. La chancelière Angela Merkel a salué le Traité comme étant un «grand projet».
 
Avec l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne, le gouvernement de l’UE devient un gouvernement central puissant, comme celui de l’ex-Union soviétique. Les différentes républiques perdront beaucoup de leur importance et devront renoncer à leurs intérêts individuels pour le bien de l’Empire. Les Irlandais qui, contrairement aux Allemands, avaient été consultés par référendum sur le Traité et l’abandon de leur souveraineté qu’il impliquait l’avaient rejeté en juin 2008 également à cause du retour de la peine de mort. A l’automne 2009, il y aura en Irlande une seconde tentative. Pour que tout marche comme prévu, les 27 commissaires européens se sont mis d’accord en secret, le 18 mars, à Bruxelles, sur le fait de modifier plusieurs lois irlandaises avant le référendum. Ainsi l’UE a mené en Irlande, en dépit de l’interdiction de la propagande politique dans les médias étatiques, une campagne politique en faveur du oui au Traité de Lisbonne, campagne financée avec l’argent des contribuables européens.
Afin que les Irlandais votent «correctement» lors du second référendum, cet automne, les 27 pays de l’UE se sont mis d’accord, le 18 mars à Bruxelles, pour aller à la pêche aux voix. Par exemple, les évêques qui prêchent dans les églises en faveur du Traité de Lisbonne, et donc de l’abandon de la souveraineté irlandaise, recevront de l’argent provenant des caisses de l’UE. En tête de la campagne figure la direction du Parlement européen. Elle a même annoncé publiquement qu’elle voulait que le «non» irlandais soit corrigé le plus vite possible, même au moyen de pressions directes exercées sur les évêques irlandais. De nombreux commissaires de l’UE ont estimé que c’était probablement un peu trop audacieux et ils se sont mis d’accord pour acheter des votes en secret.
 
Extrait de:

Udo Ulfkotte, «Vorsicht Bürgerkrieg!
Was lange gärt, wird endlich Wut.
»

pp. 361-363. Kopp Verlag, 2009
(Traduction Horizons et débats)
ISBN 978-3-938516-94-2
 
Alter-media
 
Source:
http://wikistrike.over-blog.com/article-reintroduction-de-la-peine-de-mort-en-europe-devinez-qui-y-aura-droit-79864487.html
 

jeudi 21 juillet 2011

#FrenchRevolution #Fruncut #Anonymous | Opération France : #opFrance.



Message d'Anonymous | Opération France : #opFrance.
- Lulz Security & Anonymous ne font qu'un !
- Pour rejoindre Anonymous sur IRC : http://irc.lc/anonops/francophone.

Les hommes étaient las ; après avoir vogué sur les sept proxies des semaines durant, tous ne pensaient plus qu'à fouler le sol à nouveau, sans trop y croire. Quand la vigie s'écria « A tribord ! Terre ! Terre à tribord ! », c'est une énergie nouvelle qui anima nos fiers marins qui, d'une seule voie, entamèrent « Que s'écoule la Data ».

Nous y étions, après tant de péripéties, nous avions atteint le Pays des Mèmes. De la grande flotte des 9000, nous n'étions plus que 42. Des survivants, voilà ce que nous étions. La lune s'élevait tandis que les flammes de notre feu crépitant se hissaient jusqu'au ciel étoilé ; des étincelles pleins les yeux, mélange d'espoir quant à cette vie nouvelle qui s'ouvrait à nous et de chagrin pour nos camarades tombés, c'est à point que le frère du Kopimism nous rappela que rien ne se perd. Que nos valeureux amis avaient rejoint le flux éternel. Et apaisés, nous nous endormirent.

C'était hier.

Aujourd'hui, nous reprenons les armes. Béret fixé sur la tête, la moustache glorieuse, la baguette sous un bras, le gros rouge sous l'autre, nous repartons en guerre.

• Nous sommes les hérauts,
• Nous annonçons Catnarok,
• Nous divisons par zéro,
• Et, morbleu, nous arrivons.

http://www.rezocitoyen.fr/anonymous-france.html

#FrenchRevolution #Fruncut #Anonymous | Arrestations : La Guerre aux peuples est déclaré




- Communiqué de Presse Anonymous (Anonymous Press Release on Arrested).

- Le 19 Juillet 2011, les gouvernements américains, britanniques et néerlandais ont décidé qu'ils ne pourront finalement plus tolérer les droits de leurs citoyens à la liberté. Avec des méthodes vraiment dystopiques, ces gouvernements ont malmené, non seulement les droits de ces citoyens, mais aussi les droits fondamentaux de tous les citoyens: la liberté de parole, la liberté d'expression et la liberté d'association.

Ces actions ne doivent pas rester impunies.

Ceux qui ont été arrêtés croient en une cause, croient en une idée, croient en nous. Nous devons répondre par des actions réelles et concentrées pour réparer les préjudices de ces arrestations. Nous, en tant qu'Anonymous, avons une vraie responsabilité vis-à-vis des personnes qui ont été emprisonnées parce qu'elles luttaient pour la liberté.

Avez-vous déjà rejoint un sit-in, pris part à une grève, défilé dans les rues, ou tenté de bloquer l'accès d'un bâtiment en signe de protestation ? Les actions d'Anonymous sont les équivalents cybernétiques de ces formes traditionnelles de protestation. Arrêter nos militants pour avoir fait ces actions est un crime contre la liberté et la démocratie. Mais comment nos actions pourraient-elles être considérées et acceptées par les gouvernements comme de vrais actes de protestation lorsqu'on nous montre tous les jours qu'ils ne tolèrent que des manifestations qui servent à leurs propres fins,...

Actuellement, Anonymous a est faussement étiqueté comme un étant "groupe terroriste" ; Des personnes sont arrêtées avec cette accusation injuste et ceci est devenu un sale jeu du chat et de la souris avec des conséquences incalculables et incontrôlables. Toutes nos actions peuvent être comparées directement à des protestations de rue...

Est-ce que ceci est du terrorisme ? Comment quelqu'un pourrait-il savoir et prouver qu'un individu appartient à ce «groupe» ? Les gouvernements peuvent maintenant arrêter tout militant lui collant cette «étiquette» sans aucune charge réelle et aucune preuve qu'il appartient à Anonymous ou s'identifie comme tel. Même si Anonymous n'est pas un groupe, Il est une idée partagée par tous ceux qui chérissent la liberté et la justice.

Les gouvernements n'aboutiront à rien en essayant de réduire au silence les participants à Anonymous, parce qu'à chaque fois que l'un d'entre nous tombe, dix autres prendront sa place.

Peuple du monde... N'oubliez jamais que les Anonymous luttent, non pour leur liberté, mais pour la liberté de tous, y compris la vôtre.

« Quand l'injustice devient loi, la rébellion devient devoir » - Thomas Jefferson

Nous sommes Anonymes
Nous sommes légion
Nous ne pardonnons pas
Nous n'oublions pas
Attendez-vous à nos actions

- Pour rejoindre Anonymous sur IRC : http://irc.lc/anonops/francophone.

- http://www.rezocitoyen.fr/anonymous-arrestations.html

mercredi 20 juillet 2011

#FrenchRevolution #Fruncut #Resistance Appel de 158 militants ouvriers et élus,

NON À LA DICTATURE DE LA “TROÏKA”
  (FMI, BCE, UNION EUROPÉENNE)
  NON AU PLAN EUROPLUS
   NON À LA DICTATURE DES DÉFICITS

Pour sauver le système capitaliste, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque centrale européenne (BCE) et l’Union européenne prétendent imposer à tous les peuples et à la classe ouvrière un plan d’austérité d’une brutalité sans précédent.
Que ce soit en Grèce ou au Portugal, la troïka impose aux gouvernements-qui l’acceptent-la baisse des salaires, la liquidation de toutes les conquêtes sociales et brade au secteur privé toutes les entreprises publiques et nationalisées.
Face à cette politique, dans toute l’Europe, les travailleurs résistent, n’acceptent pas et combattent pour préserver leurs conquêtes, comme l’a démontré le mouvement massif des travailleurs en France pour s’opposer à la réforme des retraites.
En France, à la demande de l’Union européenne, le gouvernement tente d’imposer le plan Europlus- que ce soit par la constitutionnalisation de la rigueur ou par tout autre moyen-, plan Europlus qui prévoit, entre autres, des milliers de licenciements et de suppressions de postes, le blocage des salaires, la généralisation de la précarité, en particulier de la jeunesse, la liquidation des libertés communales et de nouvelles privatisations.
Pour mettre en œuvre cette politique réactionnaire, en France comme dans le monde entier, les gouvernements cherchent à associer les organisations du mouvement ouvrier. En Espagne, ils ont imposé un pacte social.
Les soussignés observent qu’en Tunisie, lorsqu’ils ont renversé la dictature de Ben Ali, les travailleurs ont su retrouver les voies de l’organisation syndicale, l’UGTT (renforcée, depuis, de 150 000 nouveaux adhérents, en particulier les jeunes) pour exiger la satisfaction de leurs revendications et le respect de la démocratie.
Les soussignés s’adressent à tous les travailleurs,militants du mouvement ouvrier et démocrates.


Il n’est pas possible d’accepter la politique que veut imposer la « troïka » (FMI- BCEUE). Pour aider à la résistance et préparer les combats inévitables à venir, les signataires appellent tous les travailleurs et démocrates et leurs organisations à se rassembler au delà de la diversité de leurs engagements.
Il revient au mouvement ouvrier de refuser le rôle que lui assignent les institutions internationales (FMI,BCE,UE) et les gouvernements.
Il revient au mouvement ouvrier d’organiser la résistance pour défendre les intérêts des travailleurs mais aussi les conquêtes démocratiques et les acquis de la civilisation.
Il revient au mouvement ouvrier de s’unir au-delà des divergences compréhensibles pour refuser les diktats de l’Union européenne.
Sur ces bases, et face à la soumission des partis politiques liés à l’Union européenne, il revient aux travailleurs et aux militants qui partagent ces objectifs de se regrouper.
C’est pourquoi les soussignés proposent d’organiser une conférence nationale de militants afin d’échanger nos points de vue et de discuter des moyens à mettre en œuvre pour défendre l’indépendance de nos organisations, notamment à l’égard des gouvernements, pour faire échec à tous les plans antisociaux préparés par l’Union européenne.


Pour tout contact :

  appel2juillet@gmail.com
  Michel Allain : 14, rue Émile Zola, appt 215, 92600 Asnières-sur-Seine-Philippe Selva : 14, rue de la Boétie, 91210 Draveil

PREMIERS SIGNATAIRES
Michel Allain, syndicaliste équipement (92) ; José Alvarez, syndicaliste construction (75) ; Maria Alves, syndicaliste métallurgie (39) ; Xavier Amor, syndicaliste métallurgie (93) ; Richard André, syndicaliste bois (71) ; Dominique Arnaudies, syndicaliste télécommunicant (75) ; Jacques Aurigny, syndicaliste Education nationale (75) ; Myriam Bakowski, syndicaliste postière (47) ; Cendrine Ballon, syndicaliste services publics (86) ; Jacky Bara, syndicaliste (79) ; Paul Barbier, syndicaliste enseignement (49) ; Thierry Barbier, syndicaliste santé (71) ; Jean Bazelle, maire de Lascelle, ancien syndicaliste action sociale (15) ; Christophe Benoit, syndicaliste enseignant (34) ; Nicole Bernard, syndicaliste organismes sociaux (75) ; Sylvain Bernard, syndicaliste postier (93) ; Aurélien Bernier, auteur (86) ; Jacques Berthault, syndicaliste santé (39) ; Pierre Besse, syndicaliste cheminot (75) ; Denis Bézirard, syndicaliste agro-alimentaire (76) ; Jean-Simon Bitter, syndicaliste assurances (93) ; Serge Bloch, syndicaliste agro-alimentaire (67) ; Jean-Vincent Boudou, syndicaliste (15) ; Yves Bourdin, syndicaliste retraité métallurgie (85) ; Alain Boutareaud, syndicaliste Finances publiques (33) ; Fabrice Brucker, syndicaliste Équipement (07) ; Marc Buard, syndicaliste services publics (93) ; Raphael Cacioppola, syndicaliste métallurgie (69) ; Bruno Cailletaux, maire adjoint (44) ; Rémi Candelier, syndicaliste enseignant (76) ; Mireille Carrot, syndicaliste santé (42) ; Patrick Catrix, syndicaliste cheminot (75) ; Daniel Chalier, syndicaliste santé (63) ; Philippe Chamek, syndicaliste postier (93) ; Jean-François Chazerans, syndicaliste Éducation nationale (86) ; Jocelyn Clodine-Florent, syndicaliste postier (75) ; Pascal Costarella, syndicaliste enseignement (38) ; Olivier Crammer, syndicaliste Éducation nationale (59) ; Jean-Paul Crouzet, syndicaliste enseignement (69) ; Marise Dantin, syndicaliste hospitalier (75) ; Alain Davanture, syndicaliste bois-construction (71) ; Christian De Vito, syndicaliste commerce (13) ; Clarisse Delalondre, syndicaliste énergie (92) ; Jean-Michel Delaye, syndicaliste territoriaux (67) ; Cécile Delecray, syndicaliste enseignante (26) ; Claire Delore, syndicaliste santé (37) ; Gilles Denosjean, syndicaliste enseignement (71) ; Aline Dotto, syndicaliste hospitalière (38) ; Christian Duffy, syndicaliste services publics (75) ; Didier Dunant, syndicaliste hospitalier (75) ; Francis Durand, syndicaliste (74) ; Daniel Dutheil, syndicaliste hospitalier (92) ; Patrick Dutto, syndicaliste métallurgie (64) ; Gérard Euzenot, syndicaliste recherche (13) ; Christian Eyschen, syndicaliste, responsable mutualiste, libre penseur (92) ; Gilbert Faraci, syndicaliste Défense (83) ; Marie- Christine Fararik, syndicaliste santé (75) ; Salah Ferkoune, syndicaliste chimie (69) ; Didier Ferron, syndicaliste postier (86) ; Gérard Fijalek, syndicaliste métallurgie (30) ; Alexandra Fiquet, syndicaliste territoriaux (86) ; Catherine Fléchard, syndicaliste énergie (75) ; Christophe Fonte, syndicaliste recherche publique (54) ; Didier Fouché, maire de Soulitré, ancien syndicaliste SNCF (72) ; Gérald Fromager, syndicaliste (02) ; Didier Gadéa, syndicaliste viticulteur (34) ; Michel Gannereau, syndicaliste Équipement (49) ; Claude Gatard, syndicaliste cheminot (91) ; Gabriel Gaudy, syndicaliste (75) ; Patrick Gauthier, syndicaliste Équipement (22) ; Christophe Gentile, syndicaliste travailleurs de l’État (83) ; Marc Georges, syndicaliste (74) ; Bernard Giusti, syndicaliste hospitalier (75) ; Orlando Gomes, syndicaliste métallurgie (39) ; François Grazza, syndicaliste cheminot (75) ; Gérard Gressot, syndicaliste métallurgie (69) ; Jean-Louis Guérin, syndicaliste docker (35) ; Franck Guilbert, syndicaliste spectacle (75) ; Yacine Hadj-Hamou, syndicaliste fonctionnaire (31) ; Patrick Hebert, syndicaliste (44) ; Lucette Hohmann, syndicaliste textile (67) ; Daniel Jeannin, maire de Montenois, ancien syndicaliste automobile (25) ; Claude Jenet, syndicaliste (84) ; Daniel Juret, syndicaliste hospitalier (49) ; Jacques Lafouge, humaniste libre penseur ; Denis Langlet, syndicaliste métallurgie (78) ; Gilles Larrieu, syndicaliste métallurgie (64) ; Jacques Le Beuvant, syndicaliste Education nationale (29) ; James Le Cabellec, syndicaliste territoriaux (47) ; Sébastien Le Dû, syndicaliste postier (86) ; Gérard Le Goff, syndicaliste métallurgie (67) ; Martine Lehemonet, syndicaliste enseignement (75) ; Marie-Paule Lemonnier, médecin hospitalier (75) ; Bernard Lempereur, syndicaliste enseignant (75) ; Luc Lestrade, syndicaliste Finances publiques (40) ; Gérard Luiggi, syndicaliste équipement (83) ; Lina Maillard, syndicaliste Sécurité sociale (75) ; Jean Markun, syndicaliste mines de fer (57) ; Jean-Charles Marquiset, syndicaliste services publics (91) ; Françoise Martinez, syndicaliste Finances (83) ; Christophe Massé, syndicaliste postier (86) ; Christian Mérot, syndicaliste métallurgie (49) ; Alain Millard, syndicaliste postier (93) ; Hugues Miller, syndicaliste, services publics (57) ; Christian Moreau, maire de Dannemoine, syndicaliste Éducation nationale (89) ; Lilian Mounard, , syndicaliste (93) ; Suno Navarro, syndicaliste énergie (31) ; Philippe Navarro, syndicaliste santé (69) ; François Nicolaï, syndicaliste nettoiement (75) ; Fabrice Olsak, syndicaliste Éducation nationale (33) ; Lionel Parlant, syndicaliste postier (69) ; Frédérique Paul, syndicaliste (86) ; Jean-Claude Perou, syndicaliste enseignement (86) ; Yan Perrotte, militant ouvrier (50) ; Michel Petrequin, syndicaliste enseignant (34) ; Hervé Picamelot, syndicaliste métallurgie (71) ; Pierre Piccarretta, syndicaliste métallurgie (38) ; Marc Pipeau, syndicaliste Culture (75) ; Jean Placenti, syndicaliste éducateur spécialisé (94) ; Emmanuel Poisson, syndicaliste (28) ; Fabrice Pone, syndicaliste métaux (39) ; Pascal Poyen, syndicaliste Finances publiques (71) ; Philippe Quintard, syndicaliste (92) ; Odile Raffini, syndicaliste (77) ; Daniel Rassat, syndicaliste enseignant (26) ; Michel Raynaud, syndicaliste travailleur de l’Etat (36) ; Jean-Louis Remande, syndicaliste cheminot (76) ; Bruno Ricque, syndicaliste santé (76) ; Alain Rivron, syndicaliste postier (30) ; Marie-Line Robinet, syndicaliste fonctionnaire (75) ; Sylvie Roger-Pons, syndicaliste (19) ; Alain Roques, syndicaliste recherche agronomique (45) ; Rose-May Rousseau, syndicaliste santé (94) ; Didier Rouze, syndicaliste énergie (31) ; Bernard Saas, syndicaliste chimie (71) ; Joachim Salaméro, syndicaliste (33) ; René Sale, syndicaliste hospitalier (13) ; Pascal Samouth, syndicaliste (43) ; Roger Sandri, syndicaliste ; Marc Sauterey, syndicaliste transports (91) ; Arsène Schmitt, syndicaliste travailleur frontalier (57) ; Philippe Selva, syndicaliste Finances publiques (75) ; Alain Serre, syndicaliste professionnels de vente (75) ; Christian Sourbès, maire de Lagrange (40) ; Sylvain Sourdillat, syndicaliste Finances publiques (40) ; Maurice Stobnicer, syndicaliste enseignant (93) ; Thierry Teruel, syndicaliste postier (93) ; Olivier Tomnet, syndicaliste métallurgie (92) ; Jacques Tournat, syndicaliste banque (86) ; James Treuil, syndicaliste services publics (86) ; Michel Trougnou, syndicaliste enseignement (86) ; Jean-Paul Villette, syndicaliste métallurgie (71) ; Vincent Vilpasteur, syndicaliste (95) ; Alain Vollaro, syndicaliste territoriaux (13) ; Laurent Weber, syndicaliste Sécurité sociale (92) ; Hubert Whitechurch, syndicaliste Enseignement supérieur (67) ; Dolores Wickramasinghe, syndicaliste postière (93) ; Pascal Zadikian, syndicaliste transports (93).

lundi 18 juillet 2011

#FrenchRevolution #Fruncut La bastille karchérisée par Patrick Benoit

La France politique était représentée par un clan dont les tendances xénophobes, homophobes ne sont plus à démontrer, une politique contraire à la révolution, à la notion de la liberté ! Un clan de politiques qui pratiquent la chasse aux enfants d’immigrés jusque dans les maternelles ! La chasse aux ROMS ! Des Européens ! Allant jusqu’à faire démolir leurs misérables habitats, chassant les enfants à travers champs et ne leur laissant aucun répit ! La France du Fouquet’s, du caviar, des agapes, plaquant la femmes, enfants, hommes, humains tout simplement ! dans la plus abominable des misères ! La France des libertés, du citoyen, est devenu la France de la honte ! De quel droits de l’homme et du citoyen parlent donc ces pseudos révolutionnaires de salon ennemis du plus élémentaire droit : LA LIBERTE ? De quelle liberté parle ces gens qui aliènent nos libertés par l’ADN, un unième fichage biométrique ? une multitude de fichages à faire vomir tout les amoureux de la liberté, de la vie en liberté ! Nous confondrez t’ils avec leurs animaux de salon ? leurs chiens ?


Un clan politique qui a promu son image mensongère et hypocrite auprès d’électeurs en utilisant l’image d’un adolescent mort qui aurait très certainement rejeté l’utilisation faite de son image, un adolescent qui luttait avec son père contre les idées que représente le clan UMP SARKOZY, à savoir GUY MOCQUET ! La bastille écrasée par l’oppression ! est ce réellement encore rendre hommage aux indignés, aux révoltés ce dernier 14 juillet ? Sans doute une des dernières blagues avec son habituel mauvais gout qu’à voulu nous faire ce gouvernement avant son départ qui ne fera certainement pas pleurer nos aïeux révolutionnaires, car eux, chose certaine, les aurait chassé !

Ce sont les résistants qui doivent etre honorés le 14 juillet ! les citoyens ! les indignés, les révolutionnaires qui ont chassés les laquais de l’oppression et tout les Sarkozy qui s’appliquent à museler nos libertés, à détruire les droits du travail acquis par nos aïeux vraiment révoltés, révolutionnaires EUX ! Non pas les laquais politiques du crime, les vendeurs d’armes destinées à massacrer des peuples,  » ARMES DE DESTRUCTION MASSIVES « , osent-ils dire en évoquant les millions de victimes tout en fanfaronnent avec une arrogance médiatique incroyable ! Incroyablement sidérant ! Beaucoup plus que consternant ! Dramatique !

Comment nous, qui n’avons plus guère de dignité, mais certainement encore un zeste tout de même, pouvons nous accepter tout cela ? comment a t’on pu en arriver la ?
Patrick Benoit.

Source: http://www.french-revolution.fr/2011/07/18/frenchrevolution-la-bastille-karcherisee-par-patrick-benoit/